

Personne ne s’intéresse à lui, personne ne le voit, alors à quoi peut-il bien servir ?
Les phrases d’Anna Rozen ont le bruit des pas qui résonnent dans une gare vide, et cette mélancolie trouve un écho dans les images à la beauté silencieuse dont les ont habillées Dupuy et Berberian.
Les mots tombent comme des couperets, tranchant et retranchant dans le récit ; et lorsqu’il n’en reste plus rien, c’est que l’histoire est terminée.
